22 mai 2019
#PortraitChinois – Guillaume se livre en 6 mots
Pour cette deuxième semaine, c’est au tour de Guillaume SAGNES, Directeur Général de Proxity, de se prêter au jeu des questions/ réponses du portrait chinois.
Notre ex-Dijonnais ne manque pas de piquant et il en faut pour relever les défis du commerce de demain ! Mais avec une bonne dose d’optimisme et sa capacité à allier et mélanger les meilleurs éléments, on lui fait confiance pour nous concocter des recettes savoureuses…
Si tu étais une ville ?
Sans doute Dijon, car c’est là où j’ai passé mon enfance, mon adolescence, où j’ai le plus de souvenirs, mes amis les plus proches, une partie de ma famille,où j’ai rencontré mon épouse, où j’ai créé ma première entreprise, où mes premiers enfants sont nés. Une ville qui s’est fortement transformée en quelques années pour devenir une belle ville dynamique, avec un patrimoine magnifique, une ville connectée avec le projet « On Dijon » qui en fait une SmartCity.
J’adore me balader avec ma famille dans les rues du centre historique, flâner devant les vitrines des commerçants qui mettent en avant la qualité du territoire bourguignon. Et puis, Dijon aussi car il y a le foot avec l’équipe du DFCO qui vit à ma grande tristesse une saison compliquée en Ligue 1. Bref, je crois pouvoir dire que je suis un ambassadeur expatriée de la capitale des Ducs de Bourgogne.
Si tu étais un commerçant ??
J’aimerai beaucoup créer un concept store dédié à la mode masculine mêlant lieu de vente, lieu de rencontres et lieu artistique. Un lieu où je mettrai en avant des vêtements, des accessoires pour homme dans une ambiance industrielle vintage avec un espace food qui accueillerait des événements artistiques et culturels, un espace « cave à vin / à cigare ».
Tout cet espace serait évidemment ouvert sur la ville, sur la rue pour faire vivre une nouvelle expérience shopping aux hommes mais aussi aux femmes bien évidemment !
Si tu étais une valeur ?
L’optimisme, c’est certain. Positiver permet de se fixer des objectifs ambitieux, réalistes et atteignables. C’est aussi un moyen de se donner, de se laisser tout les moyens pour réussir. L’optimisme permet aussi d’anticiper et de ne pas laisser la place à la fatalité, on est donc acteur de sa vie, acteur du futur.
D’ailleurs, quand tu commences dans la vie avec le pire, la suite ne peut être que meilleure ! Alors, j’ai décidé que ma vie de demain serai toujours meilleure avec encore des belles choses à réaliser. Je travaille pour ça, améliorer le quotidien.
Si tu étais un symbole ☯️
L’infini, car je ne met pas de limites à mes engagements. Quand j’aime ou quand je suis passionné, je m’engage à fond, avec envie, je donne beaucoup. Ça m’a valu aussi quelques déceptions car on reçoit rarement autant mais je ne suis pas en recherche d’un juste retour. L’infini permet de s’épanouir, de ne pas se limiter.
Que cela soit à titre perso ou pro, j’essaie sans cesse de voir loin, de me donner un cap, et d’embarquer avec moi mes proches ou les collaborateurs avec qui je travaille.
Si tu étais un objet ?
Un smartphone, clairement ! J’aurai beaucoup de mal à vivre sans tant que cet objet augmente nos vies. Je fais beaucoup de choses avec et il renferme aussi pas mal de bout de ma vie. C’est mon outil au quotidien. Outil d’information, de liens, de gestion, de pilotage, de communication, de partage, de veille. Bref, c’est mon outil de travail.
Si tu étais une personnalité ?
Franchement,
je ne suis pas dans l’admiration d’une personnalité en particulier par contre il y a des personnalités qui m’inspirent : des sportifs, des entrepreneurs, des politiques, des artistes. Par exemple, je pense à des entrepreneurs Français comme
Marc Simoncini, Frederic Mazzela ou bien encore Guillaume Gibault du Slip Français.
J’aime découvrir leur parcours, savoir comment ils ont fait pour atteindre les performances qu’ils ont connu.
J’apprécie aussi quand un entrepreneur est capable de se mettre à nu, de dire qu’il a raté des trucs, qu’il n’a pas tout réussi, qu’il a eu des galères car la vraie vie d’un entrepreneur ce n’est pas juste lever des fonds comme on pourrait le croire aujourd’hui. Entreprendre, c’est se donner à fond, faire des paris, décider, et accepter de se planter. Ça oblige à être humble, à accepter de se remettre en cause et je trouve que les 3 boss que j’ai cité plus haut sont des exemples à suivre. Bon, j’ai un petit faible pour Marc Simoncini qui a commencé à Dijon 😉 La boucle est bouclée !
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