Ce mois-ci nous découvrons le portrait chinois de Nicolas Massacrier, Responsable Delivery chez Proxity. Lui aussi s’est prêté au jeu et comme à son habitude, il y a ajouté sa touche d’humour.
Après un début de carrière dans la grande distribution, Nicolas est devenu commerçant et président d’une association de commerçants. Il a aussi été Vice-Président de la Fédération Nationale des Centre Villes (FNCV) avant de créer son activité de consultant.
Spontanément je dirais Lyon, car j’y suis né. C’est une ville où je prends plaisir à flâner et surtout découvrir de nouveaux restaurants. Et à m’attarder dans les bouchons autour d’un pot de Côte du Rhône. Et puis il y a l’OL, où j’allais à Gerland avec mon grand-père, à l’époque où l’équipe était encore en D2 😉
Néanmoins, s’il y a un lieu qui m’a marqué au cours de mes derniers voyages, c’est une succession de villages en Birmanie. Coupés du monde, où du haut de mon 1M92 j’étais une curiosité locale. De la simplicité, de la chaleur humaine loin de tous les standards que l’on peut connaître. Et finalement, où je n’ai qu’une envie, celle d’y retourner.
Comme j’en ai déjà planté un, je ne suis pas sur d’en vouloir un autre. Mais si l’appel se fait ressentir un jour, ce sera sans aucun doute une cave à vin. Quand tu es lyonnais, tu prends acte dès la naissance qu’il y a deux fleuves qui traversent la ville, le beaujolais et le Côte du Rhône…et n’y a il rien de plus plaisant que de découvrir et de faire découvrir des crus bien cachés de nos régions que nous aimons tant ;-). Seul problème, ne pas déguster le stock !
La loyauté. Dans les différents projets que je peux mener en équipe je mets un point d’honneur à aller au bout de ceux-ci pour une satisfaction totale des collaborateurs et quand tout est fini, je ne peux m’empêcher de prendre des nouvelles des projets. C’est toujours passionnant de voir un projet grandir après lui avoir appris à marcher !
Le coq gaulois ! Pour son côté conquérant ! Ne jamais rien lâcher. On l’a vu encore récemment chez Proxity ! Il accompagne d’ailleurs les équipes de rugby en début de match et si jamais il ne porte pas chance, il finira dans une cocotte !
Ma paire de chaussures de course. En effet, je ne pars pas en déplacement sans. Courir me détend, me défoule et surtout permet de me concentrer sur des dossiers en cours. Il n’est pas rare que de nouvelles idées ou remarques naissent de ces séances de sport.
Jean Michel Aulas, Jack Bauer et Pierre Desproges. OK, ils sont trois, mais j’ai une passion pour chacun d’eux. Le premier parce qu’il a pris les reines d’un club au plus mal, et qu’en trois ans il a mené le club en coupe d’Europe (avec Domenech comme entraineur, comme quoi 🙂 ) et que depuis il me régale par sa gestion, ses piques et sa maîtrise de la communication. Il faut suivre son Twitter garanti sans langue de bois !
Le deuxième, car il m’a embarqué dans l’ère du Binge watching, bien avant Netflix et ses frères. Je me souviens m’être abonné à canal rien que pour ça (à l’époque tu ne pouvais télécharger que sur Napster avec un modem 56k, donc forcement tu t’abonnais !).
Aujourd’hui, je peux regarder une série en enchaînant 5 ou 6 épisodes à la suite jusqu’à tard dans la nuit comme dernièrement avec la série du Nom de la Rose, Killing Ève ou encore Luther. Seul soucis, c’est que le matin on a tendance à me dire : « la nuit a été dure ? » 🙂
Le troisième, car c’est l’humour que j’aime, grinçant, ciselé, qui n’aurait sans doute plus sa place aujourd’hui, mais dont les textes sont un bonheur à lire et à relire (j’aurais pu aussi choisir Dac, Yann ou cette école-là). Lire ses textes, cela me détend. La citation du jour ? « On peut difficilement s’empêcher de penser que si Napoléon avait vécu quatre-vingt-dix ans de plus il aurait très bien connu Louis Armstrong ».
(Phrase rajoutée par Nicolas 😉 )
L’inventeur du carré 4 place dans le TGV !
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